Dans le but de solliciter un soutien électoral à l’Afrique et à la Guinée, le seul candidat africain à l’élection au poste de directeur général de la plus grande instance sanitaire du monde, l’OMS, le diplomate Ethiopien aussi ancien ministre de la santé pendant 8 ans et actuel ministre conseiller du premier ministre de son pays. Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus effectue une visite à Conakry, selon lui, l’objectif est d’engranger un support auprès du président en exercice de l’Union Africaine et de son gouvernement pour son élection à la tête de l’organisation mondiale de la santé (OMS), « le but de ma visite est de mener une campagne à côté du président de la Guinée, Alpha Condé à m’apporter non seulement un soutien de son pays, mais aussi du continent Africain »
L’élection du directeur de l’OMS doit se tenir le 23 Mai 2017 à Genève en Suisse, tous les candidats sont en campagne, au début on était au nombre de six, cependant à l’issue de la première étape faite par l’OMS, trois candidats sont éliminés, dont le français, l’italien et le hongrois. De nos jours, il reste moi, qui est unique candidat pour le continent Africain, il y’a aussi un pakistanais et un Anglais (Royaume Unis). Parmi ces candidats, j’étais le seul, qui a eu beaucoup plus de voix pendant la première échéance, indique le candidat de l’espoir Africain.
Plus loin, il avoue que sa particularité fasse aux autres candidats, est qu’il a mené assez de reformes dans le secteur de la santé au niveau de son pays, africain, également à l’international. En dehors de tous ces paramètres, il a une expérience incontournable tant sur le continent qu’au niveau international et ses compétences sont élargies sur le plan politique, diplomatique et sanitaire.
A en croire, l’Ethiopien ses défis sont énormes, c’est pourquoi d’ailleurs il s’est porté candidat au nom de l’Afrique « Je sais que tous les pays du continent ont presque les mêmes réalités dans le domaine de la santé, vous avez aujourd’hui, les questions de changements climatiques qui affectent ce secteur, l’inadéquation des structures sanitaires, dont grâce à l’expertise et l’expérience acquises, on pourra faire face à ce processus mondial, pour en donner une nouvelle image à l’Afrique.
Aissatou bobo Barry pour afriquevision.info