La conférence de l’ONU sur le climat qui se tient à Bonn en Allemagne depuis une semaine tourne à sa deuxième phase demain lundi, plus de 25 mille délégués prennent part à cette rencontre mondiale. La Guinée pays membre de cette convention est fortement représentée en dehors de son administration publique. Les acteurs de la société civile à l’image du jeune Ismaël Baldé environnementaliste de formation, responsable des programmes et projets de l’ONG Jeunesse Active de Guinée.
Arrivé à Bon en Allemagne, il y a deux semaines dans le cadre de la participation d’abord de la 13 édition de la conférence internationale des jeunes sur les changements climatiques (COY13), où il s’est fortement impliqué dans les débats et la défense de la gouvernance environnementale de son pays, le jeune homme âgé de 28 ans est aujourd’hui dans les side évents de la COP23 avec des lobby, il a reçu a intégré l’Organisation internationale qui protège l’environnement ‘’Globale plant for planète Foundation’’, qui siège aux nations unies au nom de la jeunesse.
« Je suis à ma première participation à une conférence internationale sur le climat, mais ma détermination et mon engagement et les acquis que j’ai eu pendant cette rencontre planétaire, c’est comme si j’avais pris part à ces rendez-vous à plusieurs reprises » a indiqué Baldé à notre micro.
Malgré les difficultés qu’il a traversé de l’obtention de visa jusqu’à la prise en charge de son voyage, le jeune a pu pénétrer à des endroits spécifique, histoire de s’’imprégner de l’enjeu de la conférence.
Cette semaine, je dois commencer une formation avec la structure qui m’appuie d’ailleurs depuis mon arrivé ici, sur la coordination et gestion de projet environnemental et un évènement, ce qui va me permettre de rentrer au pays avec un diplôme, une particularité pour moi, nous a-t-il souligné.
Pour lui, la réussite de cette COP23 doit nécessairement susciter des débats entre les jeunes sur la question de finance climat, le nerf de la guerre « c’est pourquoi, je suis en train de me battre pour faire en sorte que mon pays ait des avancées significatives de ladite conférence, en matière de financement de projets, dont la délégation est venue avec, mais surtout impliquer les jeunes du pays dans la dynamique »
Selon lui, dès son retour sa persévérance sera matérialisée d’abord par l’organisation d’une restitution, une manière de faire comprendre aux acteurs de la société civile qui n’ont eu pas la chance de répondre à la conférence, conclut-il.
Mamadou 3 Diallo, depuis Bonn envoyé spécial pour afriquevision.info
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