La 23e conférence des parties de la convention cadre des nations unies sur le réchauffement climatique tire vers sa fin, cette rencontre planétaire qui a mobilisé plusieurs acteurs non étatique fait d’elle une influence dans les négociations. Mais pour, Abdoulaye Dalaba Barry, acteur de la société civile guinéenne, président des Jeunes Associés pour le développement de Dalaba (JADD) et membre du club des amis du monde, les choses n’ont pas avancées dans cette COP, on parle de dialogue climatique, de la prise en compte de l’aspect genre, de droits des enfants et de l’homme, la mise à disposition des moyens financiers aux États insulaires et vulnérables, malgré tout, les pays riche ont un regard atroces sur les PMA par rapport à la finance des projets bancables.
« Cette COP23 a eu moins d’engouement par rapport aux autres, parce que les États Unis ont annoncé leur retrait et les ONG que nous sommes sont en partie laissé pour contre, les projets de développement durable ne sont pas absorbés par les institutions climatiques, ce qui met en doute certaines organisations non gouvernementale à l’atteinte du cap fixé à Paris, celui de la réduction des émissions de gaz à effet de serre en deçà de 2°C d’ici 2030 », a-t-il déploré
Nous sommes inquiets par le fait que depuis 2015 rien n’est mobilisé parmi le montant annoncé, c’est regrettable pour les grandes puissances, qui continuent à regrouper des acteurs climatiques sans pour autant concrétiser les actions, s’indigne, Abdoulaye Dalaba Barry.
Mamadou Diallo, envoyé spécial à Bonn pour afriquevision.info
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