Les élections communales du 04 février 2018 en Guinée, a donné de nouvelle position pour les formations politique. Si ces joutes communales ont permis à plusieurs partis d’avoir des conseillers communaux dans certaines circonscriptions électorales du pays, elles ont aussi fait chuter d’autres dans non seulement leur fief, mais aussi dans la plupart des collectivités.
Parmi ces partis politiques, figurent l’Union des Forces républicaines (UFR), qui avait l’habitude d’être premier en basse cote, malheureusement les résultats définitifs donnés par la CENI, ne les permettent pas d’avoir un maire sans nouer d’alliance, d’ailleurs ce parti est classé troisième derrière le RPG et l’UFDG.
Une situation, que les protagonistes et les militants de l’UFR n’arrivent pas à digérer. Pour corriger cette mélancolie politique, le président du parti, Sidya Touré n’exclut pas de nouer des alliances qui pourraient favoriser à sa formation d’occuper la tête de certaines mairies, une manière de sauver la maison. Dans ce processus de jeux d’alliance, l’UFR pourrait même avoir comme allié son ancien partenaire de 2010-2013 l’UFDG, si toute fois, ça peut aboutir à une sorte de sauvetage de l’UFR, a indiqué l’ancien premier ministre.
Mariam Keita pour afriquevision.info